album
Devils And Dust

Reno

(Bruce Springsteen)
 

Reno

Reno

She took off her stockings, I held them to my face.
She had your ankles, I felt filled with grace.
"Two hundred dollars straight in,
Two-fifty up the ass," she smiled and said.
She unbuckled my belt, pulled back her hair,
And sat in front of me on the bed.
She said, "Honey how's that feel, do you want me to go slow?"
My eyes drifted out the window, down to the road below.

I felt my stomach tighten. The sun bloodied the sky
And sliced through the hotel blinds. I closed my eyes.
Sunlight on the Amatitlan, sunlight streaming thru your hair.
In the Valle de dos Rios, smell of mock orange filled the air.
We rode with the vaqueros, down into cool rivers of green.
I was sure the work and that smile coming out 'neath your hat
Was all I'd ever need.
Somehow all you ever need's, never really quite enough you know.
You and I, Maria, we learned it's so.

She slipped me out of her mouth, "You're ready," she said.
She took off her bra and panties, wet her finger, slipped it inside her,
And crawled over me on the bed.
She poured me another whisky,
Said, "Here's to the best you ever had."
We laughed and made a toast.
It wasn't the best I ever had,
Not even close.
Elle ôta ses bas, je les tenais sur mon visage
Elle avait tes chevilles, je sentis la grâce m’envahir
“Deux cents dollars, par devant
Deux cent cinquante par derrière” dit-elle en souriant
Elle déboucla ma ceinture, tira ses cheveux en arrière
Et s’assit en face de moi sur le lit
Elle dit “Chéri est ce que ça va, tu veux que j’aille doucement?”
Mes yeux s’évadèrent par la fenêtre, jusqu’à la route en bas

Je sentis mon estomac noué. Le soleil rougeoyait le ciel
Et se découpait au travers des stores de l’hôtel. Je fermais les yeux
La lumière du soleil dans le lac Amatitlan, la lumière du soleil ruisselant dans tes cheveux
Dans la valle des dos Rios, des parfums de fausse orange emplissaient l’air
Nous chevauchions au côté des vaqueros, dans de fraiches rivières aux eaux vertes
J’étais certain que ce que tu faisais et ce sourire naissant sous ta coiffure
Etait tout ce dont j’avais toujours désiré
D’une certaine façon tout ce dont tu as toujours désiré, n’est jamais suffisant tu sais
Toi et moi, Maria nous apprîmes que c’était ainsi

Elle me sortit de sa bouche, “tu es prêt” dit-elle
Elle ôta son soutien-gorge et sa culotte, mouilla son doigt, l’introduit en elle
Et rampa sur moi sur le lit
Elle me versa un autre whisky
Dit “ Au meilleur que tu ne connaîtras jamais”
Nous rîmes et trinquâmes
Ce n’était pas ce que j’avais connu de mieux
Même pas approchant
Toutes les paroles présentes sur ce site sont la propriété de leurs auteurs respectifs. Les chansons de Bruce Springsteen sont publiées chez Sony Columbia.
 
Merci à : Philippe35
Pour toute reproduction de ces traductions, merci de nous contacter par Mail
 
       Notes:

Un sticker "Parental Advisory", l'unique de la carrière de Springsteen, était placé sur l'album en partie à cause de cette chanson. Springsteen la présenta néanmoins en concert comme une chanson d'amour ou sur l'incapacité à s'en tenir à la réalité.

Il se peut que la chanson date de 1997-1998. Springsteen y joue de tous les instruments (guitare, claviers, tambourin) et les cordes (Nashville String Machine) et les cuivres (Brice Andrus, Donald Strand, Susan Welty et Thomas Witte) ont été ajoutés en 2004.

 
       Live:
Nombre d'interprétations live: Première interprétation: Dernière interprétation:
73 22-04-2005 22-11-2005

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